VOYANCE OLIVIER

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Lorsqu’il passait la porte, il paraissait plus lumineux, comme par exemple si la contemplation des paysages alentours et le contact avec la nature le purifiaient de ses derniers tourments. Il n’abordait presque plus ce domaine de son épouse défunte, non par oubli, mais parce qu’il n’éprouvait plus ce objectif urgent d’en assembler. De expériences à autre, quelques villageois osaient s’aventurer dans la cour. Certains venaient normalement vérifier que tout allait correctement, d’autres montraient de la envie pour l’histoire pour connaitre le futur du côté. Madeleine accueillait ces échanges prudemment, voulant défendre le calme durement exclusive. Elle leur expliquait que la maison s’était de nombreuses années cherchée, qu’elle portait un passé difficile, mais que dès maintenant, un accord naissait de cet hérédité. Les évènements se prolongeaient certaines fois en lectures trouvés. 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Au fil des nuits, Madeleine entrevoyait assez souvent dans ses pensées les silhouettes de celles et celui qui avaient affronté ici avant elle. Aucun cri, zéro plainte, librement des faciès sereins, baignant dans une ajour alternative. Elle en tirait l'impression que le pardon et l’acceptation, si difficilement obtenus, étaient joignables pour toute essence en dérive. Ainsi, tout appeler de soleil confirmait son choix : turlupiner de la maison un sanctuaire, un endroit où l’apaisement l’emportait sur la discorde, et où les faits passées trouvait sa tout de suite place dans le présent.

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